mercredi 30 juin 2010
La construction des Gayants de Douayeul
Les géants de la place d'armes du jardin d'esprit médiéval ont été réalisés par Xavier et Frédéric. Il existe à Falaise (Calvados), plusieurs ronds-points possédant des soldats normands accueillant les visiteurs vers le château de Guillaume le Conquérant. Nous avons repris l'idée des soldats, mais sans être une reproduction des soldats normands. Réussite de ce projet, les soldats médiévaux montent la garde à l'entrée de notre jardin.
Quelques photos du jardin en juin 2007 - Les enclos médiévaux et les 'Rendez-vous au jardin'
A l’époque médiévale, la basse cour du château était le lieu de vie des paysans et de leurs animaux. Les animaux sont élevés afin d’assurer les besoins en nourriture des habitants du château. Rien ne se perdait ; les peaux étaient tannées, les graisses servaient à la corderie, les plumes à l’écriture, la laine pour la confection d’habits…
A côté du jardin médiéval du lycée agricole, des enclos vont abriter cochons, chèvres, moutons et volailles durant la journée portes ouvertes du lycée agricole de Douai Wagnonville.
Ces enclos reconstitués par les stagiaires de la formation adulte du CFPPA et les apprentis du CFA durant l’hiver 2007 à partir de représentations ou de descriptions du 15e siècle, utilisent le bois de la forêt, d’arbustes des parcs de notre bonne ville de Douai, de haies et des bois de taille dans l’enceinte de l’établissement.
Le droit coutumier autorisait le prélèvement du "mort bois" par les paysans, dont le diamètre n’excédait pas celui du poing fermé. Le seigneur se réservait le bois d’œuvre.
De la haie, le manant tirait le bois de chauffage, manches d’outil et objets domestiques.
"Renard se promet bien du plaisir de sa visite ! La basse cour était soigneusement enclose de solides pieux de chêne bien pointus colmatés par une haie d’aubépines. Maître Constant des Noues avait construit ce fort pour abriter ses poules. Renard se lance à l’attaque, sans bruit, l’échine basse ; il est plein d’ardeur, mais ses plans échouent devant le fourré d’épine. Se glisser dedans, sauter par-dessus semble également impossible. Extrait du Roman de Renard 12e siècle
Cette exposition a été utilisée durant la journée 'portes ouvertes'de l'établissement et lors des 'Rendez-vous au jardin'.
A côté du jardin médiéval du lycée agricole, des enclos vont abriter cochons, chèvres, moutons et volailles durant la journée portes ouvertes du lycée agricole de Douai Wagnonville.
Ces enclos reconstitués par les stagiaires de la formation adulte du CFPPA et les apprentis du CFA durant l’hiver 2007 à partir de représentations ou de descriptions du 15e siècle, utilisent le bois de la forêt, d’arbustes des parcs de notre bonne ville de Douai, de haies et des bois de taille dans l’enceinte de l’établissement.
Le droit coutumier autorisait le prélèvement du "mort bois" par les paysans, dont le diamètre n’excédait pas celui du poing fermé. Le seigneur se réservait le bois d’œuvre.
De la haie, le manant tirait le bois de chauffage, manches d’outil et objets domestiques.
"Renard se promet bien du plaisir de sa visite ! La basse cour était soigneusement enclose de solides pieux de chêne bien pointus colmatés par une haie d’aubépines. Maître Constant des Noues avait construit ce fort pour abriter ses poules. Renard se lance à l’attaque, sans bruit, l’échine basse ; il est plein d’ardeur, mais ses plans échouent devant le fourré d’épine. Se glisser dedans, sauter par-dessus semble également impossible. Extrait du Roman de Renard 12e siècle
Cette exposition a été utilisée durant la journée 'portes ouvertes'de l'établissement et lors des 'Rendez-vous au jardin'.
mardi 29 juin 2010
Quelques photos du verger Louis LORETTE
M Louis LORETTE, professeur d’arboriculture et chef de pratique horticole, de culture potagère et de floriculture créa une taille qui va le rendre célèbre a travers le monde ; la taille qui porte son nom : La taille LORETTE.
Il occupera la parcelle appelée « Potager » où il dispensera ses cours de pratique maraîchère et implantera plusieurs dizaines d’arbres fruitiers à pépins et à noyau conduits soit en forme palissée comme les cordons, les palmettes et les pyramides ailées. Plusieurs générations d’élèves vont d’années en années tailler les arbres fruitiers qu’avait plantés M LORETTE, et encore aujourd’hui. (Dossier FLorian S.)
Il occupera la parcelle appelée « Potager » où il dispensera ses cours de pratique maraîchère et implantera plusieurs dizaines d’arbres fruitiers à pépins et à noyau conduits soit en forme palissée comme les cordons, les palmettes et les pyramides ailées. Plusieurs générations d’élèves vont d’années en années tailler les arbres fruitiers qu’avait plantés M LORETTE, et encore aujourd’hui. (Dossier FLorian S.)
Inscription à :
Articles (Atom)